Le secrétaire général de l’UNC, le troisième parti d’opposition en RDC a été libéré ce jeudi, après avoir été condamné à un an de prison pour « offense au chef de l’Etat ».
Jean-Bertrand Ewanga était l’un des symboles des opposants politiques actuellement emprisonnés à Kinshasa. Numéro 2 de l’UNC, le parti de Vital Kamerhe, Ewanga avait été arrêté le 5 août 2014 après un meeting contre la révision constitutionnelle. Une manifestation destinée à protester contre les intentions du président Joseph Kabila de vouloir briguer un troisième mandat, ce que lui interdit l’actuelle Constitution congolaise. Au cours du meeting, Jean-Bertrand Ewanga avait tenu des propos très critiques à l’encontre le chef de l’Etat. S’en prenant d’abord aux Concertations nationales qu’il a qualifié de « tricheries » et ensuite contre de Joseph Kabila lui-même que « nous devons obliger à partir ». Visiblement, ces propos n’avaient pas été du goût des autorités congolaises.
« Aucune base juridique »
Pour le patron de l’UNC, l’ancien président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, « il n’existe aucune infraction qualifiée d’offense au chef de l’Etat dans notre code » . Vital Kamerhe avait dénoncé « un procès politique et non judiciaire ». Début septembre, la Cour suprême de justice avait annoncé la sentence : un an de prison ferme pour Jean-Bertrand Ewanga. Une série de manifestations de l’opposition avaient suivi à l’automne 2014, débouchant sur les émeutes de janvier 2015, violemment réprimés par les forces de sécurité congolaises (au moins 42 morts selon les ONG internationales).
« Cela nous renforce »
11 mois et 24 jours après son arrestation, le secrétaire général de l’UNC a donc été libéré ce jeudi 30 juillet 2015. Sa sortie est intervenue une semaine avant l’expiration de sa peine. Le numéro deux de l’UNC s’est immédiatement retiré auprès de ses proches à Kinshasa, sans faire de déclaration. Sur les réseaux sociaux, des sympathisants du parti de Vital Kamerhe écrivent que cette libération confirme que « c’était une erreur de l’emprisonner », accusant l’arrestation d’Ewanga « d’abus de pouvoir » et de « répression inutile » avant de conclure : « cela nous renforce ». Des ONG congolaises dénoncent toutefois l’emprisonnement d’autres prisonniers politiques en RDC, comme le président de la démocratie chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala, Jean-Claude Muyambo ou le défenseur des droits de l’homme, Christopher Ngoyi.
Christophe RIGAUD – Afrikarabia
Le Raîs du Congo-RD. est une personnalité publique donc,critiquable en vue surtout de l’aiguiller sur la bonne construction du pays malheureusement, l’homme que nous citons ici s’est érigé en TOTEM dans la République Démocratique du Congo alors, l’intouchable TOTEM est-il capable de justifier entre autres,les raisons réelles qui ont justifié l’invitation officielle en même temps sécrète qui avait été adressée à l’armée nationale du Rwanda en occurence le FPR d’entrer et séjourner au Congo-RD. au KIVU et durant plus de 2 ans en abandonnant leurs positions militaires et stratégiques aux ennemis des congolais ici le principal bénéficiaire était le M23 ?????? N’est ce pas un vrai cas de HAUTE TRAHISON !!!!!!
Le peuple de ce pays n’est-il pas soumis à une mort lente ou à petit feu car, ses revenus mensuels ou salaires de misère sont souvent irréguliers ou non payés officiellement !!!???
Alors, vive la corruption institutionnalisée !!!!!!! Ne peut-on pas dire que la RD-CONGO est devenue aujourd’hui un ENFER ou la vie du peuple majoritaire est devenue inhumaine, l’exemple évident ces sont des salaires des travailleurs tant civils et agents de l’ordre dont les salaires de misères et irréguliers mensuellement ne sont pas à la hauteur de la dignité humaine, ils sont évalués en francs congolais et ne tiennent pas compte de l’inflation qui plonge vertigineusement la monnaie congolaise vers l’INFERNO tandis que les dirigeants sont rémunérés en dollars US. une monnaie étrangère alors que le Congo-RD. possède sa propre monnaie depuis très fort longtemps où tout le monde était payé en francs congolais sans exception, il en va de la souveraineté et de la bonne santé économique du pays !!!!!!
Alors, gare à la PLANCHE AUX BILLETS !!!!!! L’ancien beau pays la RD-CONGO est devenu aujourd’hui un mouroir pour ses habitants congolais notamment ceux qui habitent au KIVU, on n’y meurt pas au gaz mais, les assassins qui sont encouragés par une politique complice utilisent d’autres artifices meurtriers pour accomplir leurs méfaits diaboliques d’ailleurs, on remarquerait que le nombre des morts dépasse celui des morts de toutes les guerres et troubles meurtriers qui ont eu lieu sur la planète terre jusqu’à ce jour !!!!!!
Le cas EWANGA rejoint celui d’autres personnes congolaises morts(es) ou vivants(es), la justice congolaise n’a qu’à ouvrir les vannes de libération des autres opposants politiques encore dans les géoles du Raïs de la RD-Congo, malheureusement pour les morts victimes de la mauvaise politique appliquée en RD-CONGO .Le TOTEM de la RD-Congo n’a-t-il pas soumis à ses propres demi-frères et demi-soeurs nommés(e) KABILA dès leurs naissances sous le régime politique de MOBUTU SESE SEKO KUKU WENDU WA ZABANGA à deux altérnatives au choix à savoir , LE CIMETIERE ou L’EXIL à l’extétieur de la RD-CONGO et sans oublier le déshéritage familial !!!!!?????? Dans ces conditions, comment voulez-vous qu’un individu de ce genre, puisse fédérer tous les congolais au sein d’une même république alors qu’il est incapable de fédérer ou plutôt d’encourager la dite fédération dans sa propre famille KABILA !!!!!!!!????????? Le cas EWANGA ainsi que celui d’autres victimes congolaises ne sont que la colère du Raïs ou Totem de CONGO-RD. qui cherche à écarter tout obstacle qui entraverait la voie de la fameuse BALKANISATION de la RD-CONGO .
D’ailleurs aucun congolais ne sait la mission exacte du RAÏS en RD-CONGO alors, est-il encore militaire de l’armée nationale du Rwanda ou un envoyé en mission au CONGO-RD. ?????? Comment se fait-il que feu MASASU, feu NGANDU KISASE, BUGERA etc…., n’ont pas pu être embauchés dans l’armée rwandaise alors que MASASU et BUGERA sont d’origines rwandaise et portaient déjà les armes ,entre autres ??????
Toute personne publique peut se tromper, même le Pape de Rome d’ailleurs, l’illustration c’est la démission d’un Pape de ses fonctions pontificales à Rome certes, ce dernier se serait reproché d’avoir accepté par erreur, ses très lourdes fonctions à assumer pleinement .
Donc, on ne peut que regretter que les familles de feu président EYADEMA du TOGO et celui de feu président BONGO au GABON n’aient pas pu résister à la tentation du premier péché commis au CONGO-RD. en janvier 2001 par la monarchisation du régime politique en ce qui concerne l’accession au pouvoir suprême politique dans un pays appelé REPUBLIQUE
MEFIONS-NOUS DES APOTRES DE 5 CHANTIERS ET DE LA MODERNITE
MEFIONS-NOUS DES APOTRES DE CONCERTATIONS NATIONALES
MEFIONS-NOUS DES APOTRES DE DIALOGUE NATIONAL
L’injure constitue tout de même un délit ,voire les propos tenus à l’endroit de tierces sont des imputations dommageables
Ainsi , nous devons faire très attention lorsque nous lançons des propos pour lesquels nous ne disposons pas d’éléments de preuves susceptibles de les étayer , nous avons les exemples dans les démocraties occidentales , les leaders n’utilisent pas ces genres « d’armes » véritables couteaux à double tranchants, je fais allusion à l’injure au blasphème voire à la calomnie ,soyons élégants dans nos propos
Théophile NKIALULENDO Ponda