A Kisangani, Alphonse Maindo, candidat député sur la liste de Denis Mukwege, dénonce les nombreuses irrégularités qui ont émaillé les élections du 20 décembre. Corruption, votes non comptabilisés, tentatives de fraudes… Ce professeur de sciences politiques accuse le gouvernement et le chef de l’Etat d’avoir « organisé le chaos » et redoute une forte contestation populaire.
Afrikarabia : Vous êtes candidat à la députation nationale à Kisangani sur la liste de l’Alliance des Citoyens pour la Refondation de la Nation (ACRN) qui soutient la candidature de Denis Mukwege à la présidentielle. Comment s’est déroulé le vote dans la capitale provinciale de la Tshopo ?
Alphonse Maindo : Dans le bureau de vote où je me suis rendu, en centre-ville, le scrutin s’est plutôt bien déroulé, avec des électeurs très déterminés à voter. Mais dans d’autres bureaux que j’ai pu visiter, il y a eu un certain nombre de problèmes. Des électeurs n’étaient pas sur les listes et nous avons dû appeler la CENI pour que ce soit corrigé. Beaucoup d’électeurs avec des noms commençant par des lettres de la fin de l’alphabet n’étaient pas sur les listes. Les électeurs ont ensuite perdu beaucoup de temps pour savoir dans quel bureau de vote se rendre. Pour moi, il fallait chercher dans 19 listes pour savoir où voter. Dans toute la périphérie de Kisangani, des candidats ont continué de battre campagne jusque dans les bureaux de vote. Certains candidats distribuaient de l’argent ou de la nourriture au vu et au su des agents de la CENI et des policiers présents. Dans la commune de Kabondo, on a également retrouvé le superviseur de la CENI enfermé la nuit dans un bureau avec des machines à voter et des bulletins de vote. La population a interpellé la police qui est intervenue.
Afrikarabia : Les premiers procès-verbaux des résultats ont commencé à être publiés ?
Alphonse Maindo : Oui, et il y a beaucoup de colère. Dans mon propre bureau où je suis allé voter, et où plusieurs personnes ont déposé mon bulletin dans l’urne, je n’ai été comptabilisé que de 2 voix. Un de nos candidats, dans la commune de Kabondo, où il a voté avec son frère pour lui-même, il n’a obtenu aucune voix dans ce bureau. Sa propre voix n’a pas été comptée. ! C’est triste. Nous avons l’impression que les machines à voter étaient déjà programmées à l’avance.
Afrikarabia : Les opposants Martin Fayulu et Denis Mukwege ont appelé à organiser de nouvelles élections, avec une Commission électorale recomposée. Cela vous paraît légitime ?
Alphonse Maindo : Je demande beaucoup plus que cela. Il faut annuler ce scrutin et voter de nouveau avec une nouvelle CENI rénovée, mais il faut aussi faire tomber ce gouvernement. C’est lui qui a organisé ce chaos. Même avec une CENI recomposée, ce gouvernement va utiliser les moyens de l’Etat pour aboutir à ce même résultat chaotique parce qu’ils ne veulent pas lâcher le pouvoir.
Afrikarabia : Selon vous, qui est responsable de ce désordre électoral ?
Alphonse Maindo : Pour moi, ce chaos a été organisé par le gouvernement et le chef de l’Etat. C’est la raison pour laquelle ce pouvoir est allé aux élections coûte que coûte, et a utilisé la CENI pour organiser ce chaos.
Afrikarabia : Le scrutin du 20 décembre était-il plus mal organisé que ceux de 2011 ou 2018 ?
Alphonse Maindo : Lorsque je compare avec les élections sous Joseph Kabila, je considère que c’était un ange par rapport à ce que nous vivons aujourd’hui. C’est le pire cycle électoral que nous ayons connu.
Afrikarabia : Est-ce que vous attendez quelque chose des missions d’observation électorale qui étaient déployées comme celles des églises catholique et protestante, ou celles de la SADC ou du Centre Carter ?
Alphonse Maindo : Ce que nous attendons, c’est qu’ils nous disent que ce ne sont pas élections et qu’il faut tout refaire et tout reprendre à zéro. Beaucoup de Congolais sont très remontés contre ce pouvoir et ces élections. Il y a également beaucoup de mécontentements sociaux. Le litre d’essence à Kisangani coûte aujourd’hui dans les 10.000 francs congolais, c’est 7 fois plus qu’en début d’année. Il y a une telle colère sociale, qu’avec le mécontentement politique qui s’ajoute et le chaos électoral, nous sommes face à une situation explosive.
Afrikarabia : Vous avez soutenu la candidature de Denis Mukwege à la présidentielle. Le prix Nobel de la paix a été peu audible pendant cette campagne. Comment l’expliquez-vous ?
Alphonse Maindo : Le docteur Mukwege a voulu faire une campagne d’idées et proposer un véritable projet de société. Malheureusement, les autres candidats n’ont pas voulu de cette campagne. Ils ont voulu faire des campagnes à l’américaine avec beaucoup de moyens et faire une démonstration de force. Ils ont aussi passé leur temps à s’attaquer les uns les autres et pas vraiment présenter leur vision du Congo. Ils n’ont surtout pas expliqué comment ils comptent réaliser cette vision. Denis Mukwege s’est retrouvé un peu isolé face à des candidats qui payaient la population pour venir au meeting, ce que nous n’avons pas voulu faire. Notre campagne était contre « les anti-valeurs » et nous ne voulions pas utiliser les mêmes méthodes. Il y a eu aussi d’autres problèmes. Notamment le fait que plusieurs organisations soutenaient le docteur Mukwege sans avoir de véritable coordination entre ces différentes structures.
Afrikarabia : Est-ce que vous regrettez l’échec de l’opposition à se mettre d’accord sur une candidature commune ?
Alphonse Maindo : Vous m’auriez posé cette question le 19 décembre, la veille des élections, je vous aurai répondu que je regrettais. Mais aujourd’hui, je ne regrette pas parce que : opposition réunie ou pas, il n’y aurait jamais eu de victoire ! Tout était déjà programmé dans les machines à voter pour donner les voix à une famille politique et à un individu. Je milite maintenant pour organiser un rassemblement pour empêcher cette mascarade électorale de perdurer.
Propos recueilli par Christophe Rigaud – Afrikarabia
Un autre son de cloche dans les réseaux.
“ Voila, la vérité sur le retard du déploiement des machines et des câbles ! Les services de renseignements avaient été avertis d’une présence des plusieurs machines à voter, fournis par l’UE à Katumbi via deux confessions religieuses ! Ces deux confessions avaient pour mission de créer une CENI parallèle. Mais déstabilisé par les services de renseignements, ce plan a été abandonné. Ils ont alors décidé de changer les matériels de la CENI avec leurs propres matériels ! Ainsi la, étant informée, la CENI ne pouvait pas déployer ses matériels 48 heures avant comme le stipule le principe pour éviter ce piège ! Donc les matériels ont été déployés presque les jours même! Et le complot était déjoué ! En rapport avec la fraude! Laisse te confirmer estimé confrère, que Kadima est un véritable professionnel : Voici les preuves :
1. Les bulletins étaient circonscriptionnels Cad un bulletin de lemba ne pouvait pas fonctionner à Matete !
2. La transmission des données ne se fait pas par VSAT mais par intraconnection avec une sim orange identité à un centre de vote! Cela veut dire que si vous voulez un DEV et que vous faites le bourrage d’urnes, les bulletins vont passer par la machine mais vous ne pouvez pas envoyer ces données à la centrale ! Ce qui fait vos bulletins n’auront aucune valeur PCQ vos électeurs fictifs n’apmarentront jamais
3. Tous les centres ont des fiches des élections circonscriptionnelles.
Tu comprends pourquoi les complotistes ont fait une déclaration selon laquelle les élections étaient déjà faites la nuit ils sont tombés dans leur propre piège
Dis à tes chrétiens qui avaient bouffé l’argent de l’UE donné leur donné par la cenco d’être en paix. Mutu akosala bango eloko aza te! Balia lar Wana na kimia. A. Marck”.
Par rapport a cet article, faites aussi une interview avec quelqu’un d’impartial ou du pouvoir pour plus de balance, where is the fairness!
@Bismark
Bien répondu, bravo.
Le professeur doit comprendre que les congolais en majorité optent pour Félix Tshisekedi surtout pour son engagement contre Kagame, l’homme qui se permet de tout au Congo, avant d’ évoquer d’autres raisons.
Ces élections n’ont jamais existé au monde
Un autre son de cloche trouvé dans les réseaux sociaux a propos de Kadima qui a mes yeux a organisé les meilleurs opérations électorales en RDC malgré les couacs et ratés liés aux problèmes d’infrastructures et surtout le potentiel de la tricherie.
“Les politiciens et les agents de la CENI véreux ne savaient pas que les machines à voter avaient un GPRS, ils ne savaient pas que si à l’enrolement on avait pris les empreintes des dix doigts de la main c’était pour reconnaître les individus à chaque fois qu’ils valident les votes au doigt à l’écran. Donc toute personne qui a déjà voté la première fois ne sait pas que tous ses autres votes frauduleux sont déclassés dans la comptabilité de la machine à voter. Voilà pourquoi des gens réclament des nombres de voix élevés en ayant voté plusieurs fois mais se retrouvent avec les vrais nombres de votes valides sur les PV. Le bourrage des urnes est totalement inutile après clôture des machines car les chiffres transmis par les machines ne reprennent nullement les nombres supplementaires des bulletins frauduleux ajoutés dans le decompte manuel, voilà pourquoi ceux qui ont tenté d’ajouter des bulletins supplémentaires n’ont pas compris comment les services de renseignement les ont cueillis facilement. Aujourd’hui le président de la CENI vient de déclarer sur la RTNC qu’ils ont mis d’autres pièges dans toutes les machines à voter sans en aviser le personnel de la CENI, plusieurs arrestations interviendront dans les jours à venir à l’issu de la collecte des données des machines sur l’ensemble du territoire national. *Yanke na plan na ye, Yuma pe na plan na ye!*”
En bon entendeur… Fatshi Béton AZA NANU.
Il est temps d’arrêter de mentir par fanatisme sur la réalité du scrutin tel qu’il s’est déroulé et des résultats livrés à l’avance par la Ceni qui dépassent tout entendement mathématique et logique. Les analyses et les images le confirment à satiété avec notamment des preuves que des machines de vote ont été distribuées aux membres de l’Union sacrée qui s’en sont servi à leur guise pour donner prise aux resultats retenus par la Ceni au point où l’on se retrouve à terme avec des scores soviétiques qui défient fût-ce en tenant compte des références sociologiques normales qui conditionnent quelque part nos votes – dans un patelin acquis d’avance à un candidat du coin on le retrouve comme par magie bien plus bas que la logique attend au profit du champion Tshilombo – ; à se demander s’il n’y a pas eu de ratés dans la planification du pouvoir en place qui veut prendre les Congolais pour des deficients intellectuels comme eux qui auraient complètement démissionné de défendre jusqu’à leur propre territoire.
Ce scrutin a été un braquage électoral, un ‘desordre organisé’ dixit Ambongo, tout le démontre ; il faut arrêter le discours qui le défend par simple fanatisme.
L’enjeu definitif qui s’en suit c’est comment y faire face pour le meilleur avenir du pays pour éviter que cela se reproduise ad aeternam. Personellement je prends le courage d’accepter jusqu’à l’extrémité de mettre le pays à feu et à sang si besoin – on ne peut pas goûter à l’omelette sans casser les oeufs – les tentatives qui ont consisté en dialogues ou manifestations dans la rue comme celle prévue demain n’ont jamais rien donné, il nous faut passer par des étapes douloureuses pour redresser ce pays, une application sans concession de l’article 64. Les politiciens, la société civile, la population en général y sont-ils prêts ???
Voici un témoignage d’un agent de la CENI qui a requis l’anonymat sur la grande fraude électorale jamais organisée en RDC
Voici les scenarios:
1) Machines à voter avec stock des votes deja preconfigurés
2) Temoins chassés dans plus de la moitié des bureaux
*Souvenez- vous de l’image qui a circulé <>
Ils ont appelé cela panne, mais c’est des machines qui venaient avec des votes et qui n’ont pas été initialisées devant les temoins mais plutot depuis les antennes de la CENI(c’est plus de 70% des cas)
3) Le chaos a été planifié ,calculé . Les votes retardés et prolongés ont été voulus,pour que dans ce chaos,et cette impatience des électeurs, les machines ne soient pas initalisées
4) Les machines qu’on a vu dans les chambres devaient par la suite rejoindre des bureaux mais en soirée,là où les votes ont débutés (volontairement) tardivement.
5) Et quand les machines indiquaient <>, ils suspendaient le vote et appelaient un technicien qui se retirait avec la machine dans un coin pour supprimer des votes de l’opposition et libérer de l’espace pour que le vote se poursuive.
6) Ils ont chassé les temoins parce qu’il fallait remplancer les bulletins dans les urnes par des liasses des bulletins avec des votes ramenés comme des billets neufs avec elastique, pour que ca corresponde avec des machines
Voici un témoignage d’un agent de la CENI qui a requis l’anonymat sur la grande fraude électorale jamais organisée en RDC
Voici les scenarios:
1) Machines à voter avec stock des votes deja preconfigurés
2) Temoins chassés dans plus de la moitié des bureaux
*Souvenez- vous de l’image qui a circulé “ Limite d’électeurs atteinte! Voir image ci-dessous”
Ils ont appelé cela panne, mais c’est des machines qui venaient avec des votes et qui n’ont pas été initialisées devant les temoins mais plutot depuis les antennes de la CENI(c’est plus de 70% des cas)
3) Le chaos a été planifié ,calculé . Les votes retardés et prolongés ont été voulus,pour que dans ce chaos,et cette impatience des électeurs, les machines ne soient pas initalisées
4) Les machines qu’on a vu dans les chambres devaient par la suite rejoindre des bureaux mais en soirée,là où les votes ont débutés (volontairement) tardivement
.
5) Et quand les machines indiquaient “Limite d’electeurs atteinte”, ils suspendaient le vote et appelaient un technicien qui se retirait avec la machine dans un coin pour supprimer des votes de l’opposition et libérer de l’espace pour que le vote se poursuive.
6) Ils ont chassé les temoins parce qu’il fallait remplancer les bulletins dans les urnes par des liasses des bulletins avec des votes ramenés comme des billets neufs avec elastique, pour que ca corresponde avec des machines
Un autre son de cloche dans les réseaux sociaux.
Les Chroniques de Maître Rémy KASHAMA TSHIKONDO.
Faisons le point.
Les Mauvais perdants…
MADIDI.
Il est revenu, in extremis, dans la course, laissant sur les carreaux, les membres de sa « Cour » qui lui étaient encore fidèles et qui avaient, les yeux fermés, suivi son mot d’ordre de boycott. Ceux-ci ont été empêchés de déposer leurs candidatures et se sont inclinés à la décision du Boss… Mais qu’est-ce qui a justifié le revirement spectaculaire du Boss lui-même ? Epenge Prince, un de ses fidèles lieutenants, nous en fournit l’explication. C’était devant un parterre de fanatiques, tirés sur la volée et qui ont, malgré tout, laissé fuiter les images de la mystérieuse réunion stratégique : « S’il n’est pas dans la course », commence Epenge, « ya Martin n’aura aucune légitimité à (vous) envoyer dans la rue…Il est le seul, de tous les candidats déclarés à la présidence, à pouvoir réussir une telle prouesse. S’il n’est pas là, Tshilombo aura un boulevard devant lui… ». Point à la ligne.
Madidi est donc rentré dans le jeu pour ce but-là. Jeter le « peuple » dans la rue en cas de « victoire » de Tshilombo. A la vérité, ya Martin sait que son disque dur – la vérité des urnes de 2018 – est arrivé à échéance… Passé cette étape en effet, il n’aura plus de discours à vendre. Il redeviendra le citoyen, presqu’ordinaire, qu’il a été avant le hold-up de Genève. Or, il doit continuer à exister politiquement…Fût-il au prix de la manipulation gratuite des foules…. Admirez le cynisme !
KATUMBI
Porté par le groupe des 4, des menus fretins à la vérité, le chairman ne sait apparemment plus à quel saint se vouer et s’englue dans des contradictions qui trahissent son désarroi.
Son tout premier communiqué, pondu au lendemain du vote, faisait état de sa victoire, attestée, précisait le communiqué, par les Procès-Verbaux en sa possession. Et, ce, « malgré des graves irrégularités » relevés çà et là. Le Chairman attendait donc « sereinement » sa consécration par la Centrale électorale.
Cependant, cette posture était difficile à tenir devant les évidences. Le stratagème a été balayé par les faits réels, résultant des procès-verbaux affichés devant les bureaux de vote dont n’importe qui peut se procurer une copie, ou, à tout le moins, prendre une capture avec son smartphone (je l’ai fait personnellement).
La première estocade est venue de l’étranger. Les premières tendances, notamment celles du vote – dont on ne peut contester la régularité – des congolais de la diaspora, ont vite ramené l’homme de Kashobwe sur terre.
Plutôt que de prendre une retraite anticipée, autant tenter un dernier baroud d’honneur. Poussé par ses nouveaux partenaires – qui se sont ralliés à lui dans les conditions qu’on connait et qui doivent justement justifier ce ralliement – le Chairman refuse de s’incliner devant les évidences..
En l’espace de 24 heures, celui qui possédait les « preuves » de sa victoire se rebiffe brutalement et demande carrément l’annulation du scrutin. Alors que la CENI a, à peine, commencé à proclamer les résultats « bureaux de vote par bureaux de vote » comme exigé par toutes les parties prenantes. Que fera-t-il des preuves qu’il détient, par devers lui, si le scrutin est annulé ?
Seth, Franck, Augustin et Denis bazo zoba Chairman…Bakoki ko zoba peuple te… Heureusement !
Mukwege
On ne sait même pas s’il faut le blâmer ou le prendre en pitié ??? Juste qu’on se demandera toujours quelle mouche l’a piqué pour se jeter dans la fosse aux lions ? Sa posture actuelle – de contestation absurde alors qu’il n’a même pas battu campagne – le ridiculise davantage….
De grâce, dites à notre « Prix Nobel » de s’extirper de cette politicaille à la congolaise. Son nom est déjà assez trainé dans les immondices comme-çà… Qu’il conserve encore le peu de dignité que lui confère son prestigieux « Prix »….
SHOLE et la CENCO
Ils ont du mal à croire leurs yeux… Les PV sont réellement affichés et ils n’ont donc plus le monopole de l’ « observation ». Ils ne peuvent ni tripatouiller ni contester les chiffres qui sont à la portée de tout le monde. Du coup, ils tournent leur regard ailleurs… Là où ils peuvent trouver quelque chose à se mettre sous la dent. Ils en seraient déjà à plus de 1000 rapports sur les « incidents » qui auraient émaillé le scrutin… Waouh.
En bon entendeur… BÉTON ARME ,BIC ROUGE AZA NANU
UN AUTRE SON DE CLOCHE SEULEMENT DANS LES RÉSEAUX SOCIAUX
BISMARK
Il est temps d’arrêter de mentir par fanatisme avec des arguments de bout de ficelles qui se pretendent avisés sur la réalité du scrutin tel qu’il s’est déroulé et des résultats livrés à l’avance par la Ceni qui dépassent tout entendement mathématique et logique. Les analyses et les images le confirment à satiété avec notamment des preuves que des machines de vote ont été distribuées aux membres de l’Union sacrée qui s’en sont servi à leur guise pour donner prise aux resultats retenus par la Ceni au point où l’on se retrouve à terme avec des scores soviétiques qui défient tout entendement fût-ce en tenant compte des références sociologiques normales qui conditionnent quelque part nos votes – dans un patelin acquis d’avance à un candidat du coin on le retrouve comme par magie bien plus bas que la logique attend au profit du champion Tshilombo – ; à se demander s’il n’y a pas eu de ratés dans la planification du pouvoir en place qui veut prendre les Congolais pour des deficients intellectuels comme eux qui auraient complètement démissionné de défendre jusqu’à leur propre territoire.
Ce scrutin a été un braquage électoral, un ‘desordre organisé’ dixit Ambongo, tout le démontre ; il faut arrêter le discours qui le défend par simple fanatisme.
L’enjeu definitif qui s’en suit c’est comment y faire face pour le meilleur avenir du pays pour éviter que cela se reproduise ad aeternam. Personellement je prends le courage d’accepter jusqu’à l’extrémité de mettre le pays à feu et à sang si besoin – on ne peut pas goûter à l’omelette sans casser les oeufs – les tentatives qui ont consisté en dialogues ou manifestations dans la rue comme celle prévue demain n’ont jamais rien donné, il nous faut passer par des étapes douloureuses pour redresser ce pays, une application sans concession de l’article 64. Les politiciens, la société civile, la population en général y sont-ils prêts ???
Allez y avez vos œufs a casser pour faire une omelette imaginaire. Le peuple de la RDC a gagné avec fracas, n’en déplaise aux fanatiques pathologiques anti Fatshi ici présent. Fatshi a put jouer sur la fibre patriotique en plus de ses réalisations très visibles que les myopes de l’antifatshisme refusent de voir.
Vous avez échoue avec brio, vos prédictions nauséabondes sont restées sans effet aucun. Vos analyses kilométriques biaisées sont restes des rêves ,des chimères. Vous vous fatiguez avec des analyses post électorales bidons( tricheries, scores qui ne correspondent pas a une réalité imaginaire”, si on vous demandais de prouver cette tricher dont vous parlé, il vous serra tout simplement impossible. Meme la sulfureuse CENCO, sûr laquelle vous aviez vos espoirs, confirme les résultats. Alors, allez boire un verre d’eau froide po okitisa motema. Dans l’entre temps, dans les réseaux sociaux la SADEC dit ce qui suit. Allez les contredire avec des preuves si vous en êtes capable.
“Pendant que l’opposition politique de la République démocratique du Congo et autres mouvements de la société civile n’accordent aucun crédit sur les résultats en cours de la présidentielle tels que publiés par la Commission Électorale Nationale Indépendante, la Mission d’observation électorale de la SADC par le biais du chef des observateurs Enock Kavindele confirme que ces résultats reflètent la vérité des urnes.
“Je vous rassure que tout indique que les résultats sont conformes à la réalité des urnes”, a confié
Enoch Kavindele, ancien vice-président de la République zambienne, à nos confrères de la télévision nationale.
Il convient de rappeler qu’en rapport avec le contexte post-électoral en RDC caractérisé notamment par des altercations entre différents camps politiques, le Procureur Général près la Cour de Cassation, Firmin Mvonde Mambu, met en garde, toute personne qui, sous prétexte d’user des libertés constitutionnellement garanties, s’éloignent dans leurs actes et paroles des limites légales, versant ainsi dans le libertinage.”
Pour 5 ans encore avec FATSHI BÉTON, ENCRE CORRECTEUR, BIC ROUGE.
Bokomela mayi na Tonga.
BISMARK
Ci dessus, les réalisations que les myopes de l’antifathisme refuse de reconnaître tout simplement par mauvaise foi, par haine et certainement de la ou il vient.
Quelques points de son bilan qui est bon et défendable.
Voici quelques réalisations :
1. Gratuité de l’enseignement primaire.
2. Gratuité de la maternité
3. Construction de l’hôpital Maman Yemo
4. Construction de l’hôpital du camp Tshatshi.
5. Usine de traitement d’eau de Lemba Himbu
6. Usine de traitement d’eau de Kinsuka
7. Pont sur rivière Lubudi à camp Luka
8. 1ère route asphaltée à camp Luka.
9. Route asphaltée à Malueka.
10. Construction avenue Elengesa à Makala.
11. Construction avenue Kikwit (Fikin-Elengesa).
12. Construction route Kindele.
13. Construction route Ndjili Brasserie.
14. Construction route Terre Jaune.
15. Construction grand marché de Kinshasa.
16. Asphaltage route N1 Tshikapa à Kamuesha.
17. Asphaltage route N1 Boma à Moanda.
18. Asphaltage route N1 Kasumbalesa à Sakania.
19. Construction douane moderne à Mokambo.
20. Construction port sec à Kasumbalesa.
21. Construction Aéroport International de Kolwezi.
22. Rénovation Aéroport International de Bangboka à Kisangani.
23. Électrification Mbandaka
24. Électrification Gemena.
25. Électrification Libenge
26. Électrification Kikwit
27. Construction 1200 écoles P145T
28. Construction 800 centres de santé P145T
29. Construction 145 bâtiments adm. P145T.
30. Loi de programmation militaire.
31. Équipements de l’armée.
32. Mécanisation de 8000 personnels de la santé.
33. Assainissement de la fonction publique.
34. Renforcement du pouvoir de l’IGF.
35. Renforcement de la sous-traitance minière.
36. Retour du Congo sur la scène internationale.
37. RDC reconnue pays solution aux enjeux climatiques.
38. Rélance de la SNCC.
39. Rélance Transco
40. Transport Académia
41. Rénovation UNIKIN
42. Rénovation UPN
43. Rénovation IBTP
44. Construction Université Officielle de Mbuji-Mayi
45. Nouveau bâtiment douane Lufu.
46. Kulunas devenus bâtisseurs du Service National.
47. Augmentation budget national à 16 milliards.
48. Production d’or à l’est passe de 24kg/an à plus de 2 tonnes.
49. Construction du centre financier de Kinshasa.
50. Construction du centre culturel de Kinshasa
Nous avons votés massivement le numéro 20 a cause entre autre de ces réalisations.
SOKI OBOYI FATSHI OKOKI KO KENDE BRAZZA KUNA PE EZA CONGO
En bon entendeur…Fatshi aza nanu pona 5 ans.